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Toute sa vie, Schlier a été reconnaissant
envers Bultmann pour tout ce qu’il avait appris de lui dans la
façon d’aborder les textes bibliques, et toute sa vie aussi il
est resté étroitement lié à la pensée
philosophique de Martin Heidegger. rende accessible au public le petit livre sur la
résurrection de Jésus que Heinrich Schlier publia chez
Johannes Verlag, maison d’édition fondée et
dirigée par Hans Urs von Balthasar en 1968, à une
époque où des théories qui circulaient dans les
milieux protestants, depuis quelque temps et sous des formes diverses, en
vinrent à être présentées dans la
théologie catholique comme quelque chose de neuf et de
scientifiquement assuré. mensuel international dirigé par Giulio Andreotti »« Que la paix soit sur lui le jour où il naquit, le jour où il mourra, et le jour où il sera ressuscité vivant ! La Résurrection ne relève pas de faits vérifiables mais exclusivement de l'ordre de la croyance ; elle ne relève donc pas de la science historiqueDurant toute l'Antiquité et les deux premiers tiers du Moyen Âge, la Résurrection est représentée par des images fidèlement inspirées du texte même de l'Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. De là naît la difficulté d’une
interprétation objective: mais de là naît aussi la
possibilité de comprendre la tentation d’annuler
l’événement comme événement pour le
réinterpréter comme un fait mental, existentiel ou
psychologique. Il n'aurait pas permis qu'on fasse subir un tel sort à l'un de ses prophètesEnfin, une interprétation différente considère que l'expression Quoi qu'il en soit, l'islam reconnaît par le verset 4:55 (sourate Ce passage (paroles de Jésus), est interprété parfois comme l'annonce d'une résurrection future et non l'évocation de la résurrection racontée dans le Nouveau Testament, notamment du fait de sa mise en relation avec le verset 4:55 (voir section précédente) qui annonce le Jour de la Résurrection. Préface de Joseph Ratzinger / Benoît XVI
Théories pour lesquelles
Jésus serait ressuscité «dans le kérygme»
(selon la formule de Bultmann), c’est-à-dire que la
résurrection ne signifierait rien d’autre que la
reconnaissance, par les disciples, que «la cause de Jésus
n’est pas terminée» (selon Willi Marxsen). L'une des interprétations possibles est que Dieu aurait donné l'apparence de Jésus à un autre qui aurait été crucifié à sa place (un chef juif nommé Josué pour certainsAutre interprétation, Dieu aurait créé une illusion collective afin de faire croire à la crucifixion de Jésus. La foi dans la Résurrection
présente dans les Écritures néo-testamentaires met
l’exégète devant une alternative qui exige de lui une
décision. » Pour l'Église catholique, la résurrection du Christ : Quoi qu'il en soit, l'islam reconnaît par … 27 mars 2016 - Cette épingle a été découverte par sara daniel. Schlier était un élève marquant de Rudolf Bultmann.
En 1953, déclenchant la stupeur du Maître, il
se convertit à l’Église catholique, affirmant que sa
conversion était advenue selon une modalité fondamentalement
protestante puisque par le biais de son rapport à
l’Écriture. « Et si le Christ n'est pas ressuscité, notre prédication est vaine, et vaine aussi est votre foi (1Cor 15:14). Ce
n’est pas un événement comme tous les autres, mais
quelque chose qui sort de ce qui ordinairement se présente comme
histoire. La résurrection de Jésus est l'un des dogmes fondamentaux de la théologie chrétienne et de la christologie qui en forme le centre. C’est donc un maître de
l’exégèse qui nous parle, quelqu’un qui ne
connaît pas les problèmes de la modernité seulement de
l’extérieur, mais dont la pensée s’est
développée en leur sein et qui a tracé sa voie dans la
confrontation continuelle avec eux. Dans l'un des plus anciens écrits du christianisme, la Première épître aux Corinthiens, l'apôtre Paul déclare : « Et si le Christ n'est pas ressuscité, notre prédication est vaine, et vaine aussi est votre foi (1Cor 15:14). La résurrection de Jésus Jésus apparaît à ses disciples pour leur donner des instructions et les encourager. Green, Scot McKnight, I. Howard Marshall, Gary Habermas, "Resurrection Research: What Are Critical Scholars Saying", Tabarî, La Chronique, De Salomon à la chute des Sassanides, Éditions Actes Sud, Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Théories pour lesquelles Jésus serait ressuscité «dans le kérygme» (selon la formule de Bultmann), c’est-à-dire que la résurrection ne signifierait rien d’autre que la reconnaissance, par les disciples, que «la cause de Jésus n’est pas terminée» (selon Willi Marxsen). Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.