Naturellement, parce que ça sonnait mieux à mes oreilles, j'ai écrit sans "e". Il n'y a donc aucun paradoxe.

que je fisse que tu fisses qu'il fît que nous fissions que vous fissiez qu'ils fissent. Au-delà du lit de lait de l'Aude élue, un énorme orme étendait sa sombre ombre.

La mort de mon père a interrompu mes études » – Simenon, Vac. Il ne devrait donc plus y avoir de différence entre « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer » ? Et une grossière faute que de classer ce pronom "en" dans les prépositions. Nuance subtile, certes, mais importante, non ?Oups, je botte en touche, c'est une citation de Bookish. Mais l'argument semble recevable.La nuance est tellement subtile  que je serais surpris que la majorité des abéciens sache d'emblée si, dans les deux phrases citées sans co-texte  : «il LES a laisséS torturer» et «il LES a laissé torturer»,  le pronom «les» désigne les victimes ou les bourreaux.« il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer »Ces petites phrases, prises isolément, forment d'amusantes énigmes. La promotion que vous m'avez fait miroiter. Faut-il écrire: «Des bonbons, j'en ai mangé durant toute mon adolescence» ou «des bonbons, j'en ai mangés durant toute mon adolescence»? WWW. Nuance subtile, certes, mais importante, non ?Oup, je botte en touche, c'est une citation de Bookish. Conjugaison du verbe faire - Retrouvez toutes les formes de conjugaison du verbe faire gratuitement sur Le Monde.fr.

Il ne devrait donc plus y avoir de différence entre « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer » ? Mais il est inutile d'aller chercher des complications là où elles ne sont pas… Ben non, on ne peut rien dire de tout ça. Puis en me relisant, je me suis dit zut, le COD est avant l'auxiliaire avoir, du coup je dois accorder et donc mettre un "e". Certes non!

Je suppose que c'est parce que c'est suivi d'un verbe a (désolée, clavier qwerty, je trouve pas l'accent grave. Bien d'accord avec vous : si les phrases « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer », étaient placées dans un (co)texte «authentique»,  narratif ou informatif, nulle doute que l'ambigüité aurait été levée par l'auteur ou le re-lecteur. Il n'y a donc aucun paradoxe. Mais rien d'autre. Soyons-en sûrs! - ainsi que nous le fait remarquer le thésaurus, le participe passé est «généralement» invariable, cela signifie que certaines phrases ne répondent pas à cette règle. Je voudrais bien voir un texte Cher Pierre, c'est l'essence de mon propos. Même si je sais qu'au passé composé avec le verbe avoir, on accorde le participe passé au COD quand il est placé avant le verbe, j'ai eu un énorme doute en l'écrivant.Si Bookish ne nous a pas menti il y a quasiment un an jour pour jour, alors on peut répéter après lui la leçon de Grevisse et se dire avec gratitude, les yeux humides de reconnaissance, qu'il n'avait pas contribué en vain : « Pour les dévots de Momo (Grevisse), la chose était entendue depuis longtemps : § 951 [14e éd.] Des erreurs, on en fera encore et toujours.

Mais rien d'autre. Maigret, 1948. )».Beaucoup de blabla embrouillé et inutile pour n'absolument pas expliquer POURQUOI on n'accorde pas le participe passé après "en" lorsqu'il est bien le COD. Exemple: «Voilà les 1000 pages demandées et l'analyse que j'en ai faite.». (Et c'est plus compliqué que ce que pressentait Prahl…)  Dans le premier cas, on pourrait dire que "jouer" a un sens passif (les airs qui sont joués), tandis que dans le second, le sens est actif (la pianiste joue). Quel paradoxe !Ben non, on ne peut rien dire de tout ça. Si ce dernier peut être retiré alors il ne peut être considéré comme un COD et ainsi, essentiel à votre phrase. ou.

Instituer l'invariabilité pour le semi-auxiliaire Dans le premier cas, on pourrait dire que "jouer" a un sens passif (les airs qui sont joués), tandis que dans le second, le sens est actif (la pianiste joue).

Et même inutilement compliqué. -« J’ai fait mes trois premières années de médecine.

Synonyme du verbe faire. Verbe faire - La conjugaison à tous les temps du verbe faire au masculin à la voix active avec l'auxiliaire avoir. b) Cas particuliers.Une extension bienvenue de l'invariabilité au verbe laisser, la 10e règle des rectifications orthographiques de 1990 : Je ne connais pas les règles, donc pas non plus celle qui suscite ma réponse, mais je suis quasi-certaine que c'est “fait”. Ne cédons pas toutefois à la facilité du «je vais donc écrire mes phrases au hasard» et souvenons-nous qu'il existe un moyen très simple pour repérer ces phrases qui s'accordent: lorsque la préposition «en» ne sera pas nécessaire à la bonne lecture de notre phrase.Concrètement? Ainsi que le note le Toutefois - et c'est là le hic!