En effet, les questions fermées permettent d’automatiser l’analyse des données alors que les réponses aux questions ouvertes nécessitent un travail de ressaisie et de traitement manuel.

Cette échelle est la plus connue et utilisée : elle qualifie l’intensité d’un sentiment, d’une attitude, d’un ressenti vis-à-vis de stimuli (produit, marque publicité…).

On distingue deux grandes catégories de questions : les questions fermées et les questions ouvertes.

La seconde catégorie vise à laisser l’interviewé répondre librement à la question. Il existe plusieurs échelles de mesures pour les questions ordinales dont l’échelle de Likert. Ce cheminement sera proposé automatiquement par le logiciel d’enquêtes. Le type calculé correspond à une utilisation plus avancée, utile notamment dans le cas des questionnaires administrés et saisis en direct au téléphone, sur Internet ou encore sur les terminaux mobiles comme les smartphones et tablettes numériques. Certains logiciels d’enquêtes permettent d’incorporer au questionnaire digital des contenus audio ou vidéo pour les soumettre à des remarques ou juste pour illustrer ou étayer la question. Une réponse ainsi ajoutée sera proposée lors de la saisie du questionnaire suivant et pourra être cochée. Les questions qualitatives à réponses multiples peuvent être illimitées ou limitées. On pratique généralement une rotation des réponses pour que l’ordre n’influence pas les répondants et qu’ils sélectionnent la même variable. Les autres échelles que sont l’échelle à support sémantique de Thurstone et l’échelle sémantique différentielle d’Osgood ont des usages plus spécifiques. Exemple de questionnaire enquête quantitative Enquête sur les habitudes festives des étudiants de l’ULB L’Université Libre de Bruxelles, en collaboration avec l’asbl Modus Vivendi et l’ACE, réalise une étude sur la vie festive à l’ULB. Pour capter ce flux d’informations très distinctes, le questionnaire peut comporter différents types de questions. De nombreux traitements statistiques sont également applicables facilement et un tas de graphiques peuvent améliorer la présentation des résultats (camembert, histogrammes, courbes, barres horizontales, box-plot V, escaliers, aires…). La plus simple de toutes est la question qualitative dichotomique qui accepte comme seule et unique réponse entre deux propositions. Les questions Date peuvent prendre en compte la date précise avec par exemple une sélection à l’aide d’un calendrier, les années, le mois ou encore le jour ou encore accepter des réponses comprises dans un intervalle précis. Leur utilisation diminue la pertinence générale du questionnaire : les questions fermées sont traitées avec moins de soin et d’esprit d’exhaustivité que nécessaire, puisque la présence des questions ouvertes est censée ramener quand même l’information que l’on a oubliée d’aller chercher dans la partie fermée du questionnaire. Il s’agira dans ce cas d’une question qualitative et non plus numérique. La personne interrogée se voit proposer une liste de réponses et doit en choisir une ou plusieurs. Pour les enquêtes digitales, certains logiciels d’enquêtes peuvent présenter la question numérique sous forme de barre de défilement avec curseur. Cet outil permet de respecter une logique d'enquête qui ne brusque pas l'interviewé et de s'assurer de ne rien omettre. On l’utilise souvent lorsque l’on demande le degré de satisfaction sur une série de points distincts. La personne interrogée se voit proposer une liste de réponses et doit en choisir une ou plusieurs. Ces propositions pour ce type de questions sont généralement des affirmations ou négations comme « oui » et « non » ou « vrai » et « faux » mais peuvent aussi être en rapport avec des questions signalétiques comme le sexe. La liste initiale est généralement incomplète parce qu’il était impossible de balayer a priori tout l’univers des réponses possibles. Ce type de questions doit absolument être limité dans un questionnairequantitatif. Il existe encore d’autres présentations parfois spécifiques à une catégorie de questions comme les podiums pour les classements hiérarchiques. - Le premier est la question qualitative nominale visant à sélectionner une proposition parmi d’autres. Cette notion de réponse unique ou multiple doit d’ailleurs être précisée dans le questionnaire, pour éviter toute ambiguïté. Veuillez regarder votre boîte mails.Le plan type du questionnaire sert au chef de produit qui est amené à réaliser une enquête quantitative par lui-même ou avec son assistant. En revanche, pour des questions comme l’âge, le revenu ou la fréquence d’un comportement, il est préférable de proposer des tranches. Toutefois, ce type de questions exige d’avoir prévu à l’avance toutes les réponses possibles à la question, ou de recodifier a posteriori les réponses “autres” recueillies. Les questions ouvertes proposent au répondant de répondre librement à la question, par une ou plusieurs phrases. Ainsi, l’enquêteur peut attribuer une note et faciliter le traitement de son enquête. On privilégiera donc l’emploi de questions fermées bien posées qui apportent beaucoup plus d’éléments exploitables que ces questions ouvertes. L’utilisateur obtient en résultat des tableaux de répartition simples ou croisés des répondants sur les différentes réponses proposées. On aimerait que les enquêtés nous disent tout, mais le traitement serait impossible ! Le plan type du questionnaire sert au chef de produit qui est amené à réaliser une enquête quantitative par lui-même ou avec son assistant.

Ainsi, on peut demander à une personne qui a donné des évaluations très mauvaises à une série d’items, plus de détail sur ce qui motive son appréciation très négative. Découvrez l’ensemble de nos ressources numériques « Questionnaire quantitatif » mises à disposition de la fonction publique. L’enquête par questionnaire a pour but de récolter des informations claires et précises.