« Rien n’illustre mieux le groove que l’interaction entre le bassiste des Meters, George Porter Jr. et son batteur Zigaboo Modeliste ; une relation nécessitant une extrême rigueur pour évoquer l’atmosphère décontractée de leur ville natale de la Nouvelle-Orléans. Là où la majorité des bassistes se complaisent dans l’ombre, il cherchait la lumière. Avant Motörhead, Kilmister jouait de la guitare. Au plus fort de l’apartheid, Makwela a pris cette basse d’occasion et a complètement transformé la musique de son pays. Haden a grandi dans l’Iowa, dans le creux des chansons country. Comme il n’avait jamais joué ce genre de basse qui définissait le rock des années 60, il a appréhendé l’instrument avec la sensibilité d’un guitariste, aux côtés du guitariste Tony Iommi. La carrière de Mingus a traversé plusieurs époques du jazz, et sa maîtrise de l’instrument rend les étiquettes caduques : C’est pourquoi il se sent aussi à l’aise en jouant dans le big band de Lionel Hampton à la fin des années 40 et en menant une conversation animée et percutante avec son idole musicale Duke Ellington dans les années 60 (sur l’intemporel Produit par le producteur légendaire Hal Willner, malheureusement décédé récemment, l’album Quatuor suédois déjà fort de deux albums rock à souhait, Blues Pills fera bientôt son retour avec un troisième opus encore plus dément — aptement baptisé Il aura fallu un peu moins d’un an aux musiciens pour l’écrire et l’enregistrer, confortablement installés dans un studio en pleine campagne suédoise.S’il a principalement été produit par le guitariste du groupe, ce troisième disque estampillé Blues Pills a également été manufacturé par deux des membres de The Hives. Au cœur de ses morceaux chatoyants, il y avait un rythme implacable qui passait de ses doigts à ses cordes, donnant l’impression que ses notes sautillaient. Écoutez des compositions comme « II B.S. Fondateur du groupe, il a grandi baigné dans la musique expérimentale et classique et a appris la trompette et le violon au lycée. Verdine avait étudié la basse sous la direction de Louis Satterfield, qu’il décrivait comme « le James Jamerson de Chicago », et avait scruté des jazzmen comme Ron Carter et Richard Davis. Il a inspiré des joueurs comme Bakithi Kumalo, qui déclarait au magazine Bass Player en 2016 : « Peu de musiciens, tous genres confondus, peuvent se vanter d’avoir le doigté de Mike Watt. Après avoir dévoilé en février dernier le très pop Armatopia, accompagné de son clip, Johnny Marr est de retour avec un autre single. McVie a débuté avec John Mayall et les Bluesbreakers au milieu des années 60, avant de rejoindre Fleetwood Mac. Mais c’est dans l’ombre que Davis se sent véritablement chez lui. « Même si Louis Johnson n’avait fait que composer l’iconique ligne de basse de « Billie Jean », il mériterait quand même de faire partie de ce Top 50. Gros coup de cœur : le groupe convoitait tellement le bassiste que les musiciens déménagèrent de Los Angeles vers sa région natale, la Bay Area… à sa demande.

Il sera de passage au LIVE REPORT – Festival Interceltique de Lorient 2019, tout en beautéFleetwood Mac joue « Man of the World » pour la première fois en 50 ansPJ Harvey, Nick Cave et Johnny Marr adressent une lettre au gouvernement britanniqueJohnny Marr vous apprend à jouer « The Headmaster Ritual » des SmithsPour vous, Johnny Marr va ressortir ses singles en vinylesLIVE REPORT – Rock en Seine 2019 : une édition ovni qui a tenu ses promessesDIRECT – The Cure, Johnny Marr… les lives immanquables de Rock en Seine 2019Rock en Seine redore son blason d’un line up 2019 assez fouRevenez sur les sons qui ont défini l’avant-garde du hip-hop, du jazz, du R&B, de l’électronique et bien au-delà au cours de cette dernière décennie – y compris les disques de Kendrick Lamar, Janelle Monáe, Flying Lotus, Kamasi Washington, Erykah Badu, Childish Gambino et bien d’autres – vous tomberez forcément sur un nom : Kim Deal travaillait comme réceptionniste dans un cabinet médical en 1986 quand elle a lu une annonce dans le journal Le mouvement des auteurs-compositeurs-interprètes des années 70 a demandé à certains musiciens spécialistes du « backup » de jouer sans jamais distraire le chanteur ou la chanson. If I were to play any more than I play now then it would tip the balance over,” he told “For me, a set is a little bit like a movie where you get all your scenes in place. Il a joué de la basse sur les premiers enregistrements rock de Chuck Berry et Bo Diddley, et certains de ses morceaux  comme « I Can’t Quit You Baby » et « I Ain’t Superstitious » ont été repris par tout le monde, de Led Zeppelin à Megadeth. « Si les talents de compositeur et de chanteur de Sting sont souvent loués, on oublie son jeu de basse !

« Certains des titres les plus funky des années 60 et 70 – « I’ll Take You There » des Staple Singers, « Tell Mama » d’Etta James, « Oh No Not My Baby » d’Aretha Franklin ou encore « Take a Letter, Maria » de R.B. Son solo sur « My Generation » a inspiré d’innombrables adolescents adeptes de la basse.

Collins a rejoint le groupe de James Brown, les J.B., en 1970 et a immédiatement été séduit par le concept de « The One » de Brown, en frappant le premier temps d’une mesure aussi fort que possible et en remplissant le reste de funk.