Quelles formalités prévoir au retour du salarié ?Le délai de carence pour les indemnités journalières de la Sécurité sociale et pour l'indemnisation complémentaire et la condition d'ancienneté pour cette dernière ne s'appliquent pas dans certains cas.Depuis le 1er mai 2020, le dispositif d'activité partielle a remplacé celui de l''arrêt de travail pour le salarié qui se trouve dans l'impossibilité de travailler pour l'un des motifs suivants :Le dispositif d'activité partielle s'applique quelle que soit la date du début de l'arrêt de travail (y compris antérieure au 1er mai 2020) et :En revanche, le médecin du travail ne peut pas prescrire d'arrêt de travail au bénéfice des salariés parents d'un enfant de moins de 16 ans ou d'une personne en situation de handicap faisant l'objet d'une mesure d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile.À titre exceptionnel, le médecin du travail peut, depuis le 13 mai 2020, prescrire et renouveler un arrêt de travail au salarié :Le salarié placé en arrêt-maladie doit impérativement fournir dans les meilleurs délais un arrêt de travail délivré par un médecin, généraliste ou spécialiste.La convention collective des transports routiers prévoit que le salarié doit avertir son employeur de son état (suite à un accident ou une maladie non professionnel) le plus rapidement possible et au plus tard dans les 2 jours francs.L'arrêt de travail comprend trois volets : les volets 1 et 2 doivent être remis au service du contrôle médical de la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM), et le volet 3 doit être remis à l'employeur. 5 -  xxxxxxxxxxxxx xxxxx xx xxxxxxx xx xxxxx xxx xxxxxxx.En cas d'erreur commise dans la démarche d'envoi des documents à la CPAM, l'employeur qui a demandé la subrogation (reportez-vous à l'onglet La bonne méthode - Étape 3) s'expose à ne pas se voir remboxxxxxx xxxx xxxxxxxx xxxxxx xxxxxxxxxx xxx xx xxxxxxxxxxx xxxxx xxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxx xxxx xxx. Toutefois dans certains secteurs du transport, les partenaires sociaux ont négocié des maintiens de … Ces derniers peuvent bénéficier jusqu'au 10 octobre 2020 des IJSS sans avoir à respecter les conditions d'ouverture de droit aux IJSS (durée minimale d'activité). Réintégrer le salarié et organiser la visite médicale de reprise Au terme de l'article L. 1226-1 du code du travail, l'employeur est tenu de maintenir le revenu de ses salariés en arrêt de travail dès lors qu'ils remplissent certaines conditions.

Le salarié adresse cet avis dans les 48 heures à la CPAM afin de bénéficier des indemnités journalières et l'employeur établit le maintien de salaire dans les conditions prévues par la convention collective des Transports routiers (reportez-vous à l'onglet « La bonne méthode – Étape 3) ;ou faisant l'objet de mesures d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile parce qu'il est vulnérable (selon les critères exposés ci-dessus) ou partage le même domicile qu'une personne vulnérable : le médecin du travail peut établir une déclaration d'interruption de travail sur papier libre permettant le placement en activité partielle.Le médecin doit toujours indiquer le motif médical de l'arrêt de travail sur le volet destiné au médecin de la CPAM.

Le médecin peut aussi autoriser les sorties libres ;au respect de l'interdiction de ne pas quitter son domicile et de séjourner en dehors de son département de résidence sans l'accord préalable de sa caisse d'assurance maladie.avoir travaillé au moins 150 heures dans les 3 mois civils ou 90 jours précédant l'arrêt de travail ;ou avoir cotisé sur un salaire au moins égal à 1015 fois le montant du SMIC horaire au cours des 6 mois civils précédant l'arrêt de travail.12 mois d'immatriculation en tant qu'assuré social à la date de son arrêt de travail ;et avoir travaillé au moins 600 heures au cours des 12 derniers mois ou des 365 jours précédant ;ou avoir cotisé sur un salaire au moins égal à 2030 fois le montant du SMIC horaire au cours des 12 mois précédant l'arrêt de travail.avoir travaillé au moins 600 heures au cours des 12 mois civils ou des 365 jours consécutifs précédant l'arrêt de travail ;ou avoir cotisé sur un salaire au moins égal à 2030 fois le montant du SMIC horaire au cours des 12 mois civils précédant l'arrêt de travail.- 100 % de la rémunération du 6e au 40e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 6e au 70e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 6e au 100e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 6e au 40e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 6e au 70e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 6e au 100e jour d'arrêt En cas d'hospitalisation (sans condition de durée), les périodes d'indemnisations à 75 % sont prolongées de 30 jours- 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 120e jour d'arrêt En cas d'hospitalisation (sans condition de durée), les périodes d'indemnisations à 75 % sont prolongées de 30 jours.- 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 30e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 120e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 60e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 90e jour d'arrêt - 100 % de la rémunération du 1er au 120e jour d'arrêt Ces règles d'indemnisation sont également applicables au secteur du transport de fonds et de valeurs.

La loi prévoit également que l'employeur doit prendre en charge le complément de rémunération pour compenser la perte de salaire du fait de l'arrêt de travail pour cause de maladie.L'article L1226-1 du Code du travail impose une condition d'un an d'ancienneté pour que le salarié aie droit au maintien de son salaire en cas d'arrêt maladie. Nos juristes vous accompagnent et répondent à vos questions...Dans votre Convention Collective Transports Routiers vous trouverez toutes les Établir une DSN « événement »Etape  Vous vous demandez si vous êtes correctement indemnisé pendant votre arrêt maladie ? Ce motif n'apparaît ni sur le volet employeur, ni sur le volet destiné aux services administratifs de la CPAM.lors d'une consultation avec un médecin spécialiste à la demande du médecin traitant ;lors d'une consultation avec un médecin à l'occasion d'une hospitalisation ;lors d'une consultation avec tout autre médecin, si le médecin prescripteur du premier arrêt de travail ou le médecin traitant ne sont pas disponibles.Dans le cadre de l'épidémie de Covid-19, le délai de carence habituel n'est pas appliqué aux indemnités journalières de Sécurité sociale (IJSS) versée aux salariés non malades mais qui bénéficient d'un arrêt de travail dérogatoire car ils ont fait l'objet d'une mesure d'isolement pour avoir été en contact avec une personne atteinte par la maladie. Le salarié concerné par les préconisations subit un préjudice que vous devrez réparer par le versement d'une somme d'argent au titre de dommages-intérêts.Attention, le fait que ni le médecin du travail ni le salarié ne vous aient alerté sur la nécessité de respecter les préconisations est sans incidence sur votre responsabilité.Si vous n'êtes pas en mesure d'appliquer les recommandations du médecin du travail, la seule solution est d'exercer un recours contre son avis d'aptitude.Les représentants du personnel ne jouent pas un rôle décisif dans le traitement des arrêts maladie.


Téléchargez-la pour accéder à vos droits à tout moment ! L'un de vos salariés est dans l'incapacité d'honorer son contrat de travail suite à un arrêt maladie prescrit par son médecin.

Il convient néanmoins de le mettre en demeure avant d'agir.Vous devez organiser obligatoirement une visite médicale de reprise du salarié après :N'oubliez pas la visite médicale de reprise : à défaut, le salarié peut prendre acte de la rupture de son contrat de travail aux torts de l'employeur.