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Images d'Archives. « Qu’il y ait quelque chose qui existe avant toute recherche et toute découverte, bien entendu nous l’admettons ; mais cela ne signifie pas du tout qu’indépendamment de la conclusion de ce qui se produit historiquement dans le processus de l’enquête, en relation avec d’autres histoires, ce qui existe en tant que tel puisse être considéré comme un objet de connaissance. Les plans sont pris pour des bouts de monde ou d’époque, dont la voix du speaker délivre l’unique vérité, le montage étant supposé n’y être pour rien, simplement opérationnel.La pratique plus récente (depuis l’après-guerre et surtout depuis les années 1980, et dont Marker a sûrement été l’un des fondateurs) de ce que j’appelle « reprise de vues » consiste au contraire à remettre au travail des prises de vues passées dans un nouveau montage qui les questionne explicitement quant à ce qu’elles représentent mais aussi quant à la visée qui les a ordonnées, et interroge en retour le regard que nous posons dessus maintenant. Cela explique que les
On ne reste pas couvert au passage de la noblesse. Les images dites d’archives sont omniprésentes dans notre culture visuelle. Elle ne peut être décrite que du point de vue du présent immédiat, actuel ; car chaque époque possède une possibilité nouvelle, mais non transmissible par héritage, qui lui est propre d’interpréter les prophéties que l’art des époques antérieures contenait à son adresse« Quel film n’a pas montré cette procession des dignitaires ? Prévu les 25 et 26 octobre 2016 à l'EHESS, en partenariat avec le Centre Pompidou et en présence des cinéastes présentant leur travail en cours, ce colloque ambitionne de former une discussion transdisciplinaire autour de l’usage politique et critique des images d'archives filmiques, en l'abordant à partir de l'œuvre de Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi. Non, il leur signifie d’ôter leur bonnet.
»Le remontage standard réutilise (sans jamais questionner ni mentionner leur provenance, ni leur visée) des plans « anonymes » tirés de partout et d’ailleurs pour illustrer son propos vainqueur d’après-coup. Les images ne créent pas l'horreur ou le scandale comme les œuvres de fiction.
Ce ne sont que de petites unités sans articulations suffisantes. Parmi ses nombreuses publications : J’imagine ce qu’un Machiavel russe aurait dû écrire à l’usage des puissants : dominez, exploitez, et éventuellement massacrez − n’humiliez jamais.
Ses travaux portent sur les relations entre documentaire et fiction, réel et imagination, montage et histoire. (Eds.) Niney, F. 2016. Niney, François. Spécialiste du cinéma documentaire, a été enseignant en cinéma à l’ENS Saint-Cloud puis à l’université Sorbonne Nouvelle-Paris 3 et à la Femis. On les reconnaît par une esthétique qui se distingue des images actuelles, par ce que les prises de vues donnent à voir, ou tout simplement par une légende, un insert ou un commentaire qui les renvoient à un passé plus ou moins proche. Patrimoine, 2011, 320 p.
Compte-rendu de la recherche. La Guerre civile americaine fut le premier conflit largement documente par l'image photographique. Il est chercheur à l’IRCAV. Advitam vous permet de consulter les fonds et les collections d'archives conservés par BAnQ ou l'un de ses partenaires.Si, comme le veut l'adage populaire, une image vaut mille mots, a-t-on idée de tout ce que peuvent raconter plus de 18 500 000 images?Photographes ambulants, professionnels ou simples amateurs, les L'État n'est pas en reste, et pour soigner son image, une cinquantaine de photographes de l'Office du film du Québec (1940-1975) et du ministère des Communications (1970-1980) ont sillonné le Québec pour en ramener près de 500 000 clichés de toutes les régions et de ceux qui les habitent et les animent.Plusieurs photographies, dessins, caricatures, encres et aquarelles de personnalités historiques, politiques, artistiques ou religieuses, ainsi que de certains grands événements sociaux, politiques, culturels, sportifs ou religieux peuvent être retracés dans la collection iconographique de BAnQ.Les documents cartographiques que BAnQ conserve illustrent bien l'évolution de l'occupation du territoire québécois au cours des trois derniers siècles.Qu'il s'efforce de retrouver l'empreinte laissée par le régime seigneurial, des traces de l'urbanisation et de l'industrialisation ou un plan d'arpentage d'un lot ancestral, le chercheur découvrira certainement « sa carte » parmi les quelque centaines de milliers conservées par BAnQ. Plus de 35 000 portraits, cartes datant du 17ème, 18ème et 19ème siècle.
»« Quand ton héros Khmyr, ne pouvant plus supporter sa vie de paysan couvert de dettes, voulait se suicider, c’était le scandale. De l’engouement pour les images d’archives noir et blanc coloriées Nature morte au coq, Louis Ducos du Hauron, 1879. Ce geste du gros bonhomme qui se frappe le front, que dit-il ? « Qu’il y ait quelque chose qui existe avant toute recherche et toute découverte, bien entendu nous l’admettons ; mais cela ne signifie pas du tout qu’indépendamment de la conclusion de ce qui se produit historiquement dans le processus de l’enquête, en relation avec d’autres histoires, ce qui existe en tant que tel puisse être considéré comme un objet de connaissance. Noblesse, église, armée se rassemblaient autour d’une phrase dont tu ne pouvais savoir comment elle résonnerait un demi-siècle plus tard : “Si le paysan meurt qui nourrira la Russie ?”. Steinle, M., & Maeck, J. scérén, cndp-crdp, coll. Il pourra aussi survoler des centaines de milliers de photographies aériennes, dont les plus anciennes remontent à 1927.Comme la carte, le plan d'architecture traduit certains aspects de l'évolution de la société en renseignant, par exemple, sur les transformations de l'habitat.