« Fermer 17 réacteurs nucléaires d'ici à 2025, c'est irréaliste » Il est possible d'agir, mais il faudra fournir des « efforts sans précédent. Elle affiche encore un recul d'environ 20 % depuis le début de l'année et une performance inférieure de 30 % à celle de l'indice Stoxx Europe 600 Utilities, soulignent les mêmes experts.Le groupe a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de l'année. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD. Les réparations seront compliquées à réaliser car elles concernent Trois scénarios sont à l'étude : extraire les tuyaux par l'extérieur du bâtiment, intervenir directement par l'espace étroit entre les enceintes ou envoyer un robot dans la tuyauterie. L'EPR de Flamanville n'est toujours pas près de fonctionner. Par van der linden En France, EDF a en outre maintenu son objectif de production nucléaire de 395 térawattheures (TWh) en 2019, en très légère hausse par rapport aux 393 TWh enregistrés en 2018.Chaque jour, la rédaction des Echos répond à votre besoin d’une information fiable et vous aide à prendre les meilleures décisions.Conservez une vision globale de la situation, en France et dans le monde. L'EPR de Flamanville n'est toujours pas près de fonctionner. Eclairez votre réflexion avec des points de vue, des idées et des contributions de tous horizons.Reprenez un temps d’avance avec Les Echos. Flamanville : Le délai maximal de mise en service de l'EPR repoussé à 2024 Initialement, le réacteur nucléaire de nouvelle génération avait jusqu'en avril 2020 pour être mis en service. EDF va devoir effectuer des réparations de soudure avant la mise en service de l’EPR de Flamanville prévue désormais fin 2022 au plus tôt. Pour preuve, par un décret publié au Journal officiel le 27 mars, le gouvernement a prolongé le délai maximal de mise en service du réacteur. Non l'EPR ne coûtera pas plus de 10,9 milliards d'euros et il sera mis en service entre octobre et décembre prochain.
Il a ainsi annoncé des performances opérationnelles globalement stables au premier semestre 2019, marqué notamment par des conditions de prix de marché favorables en France, et a confirmé l'ensemble de ses objectifs pour la période 2019-2020.Dans le détail, il a dégagé à fin juin un résultat net part du groupe de 2,5 milliards d'euros (+44,7 %), un excédent brut d'exploitation de 8,3 milliards (+0,1 % en organique) et un chiffre d'affaires de 36,5 milliards (+4,3 %). La malédiction du chantier de l’EPR, réacteur nucléaire de troisième génération, de Flamanville (Manche) n’a toujours pas été levée. Ces résultats sont légèrement supérieurs aux attentes de la communauté financière, grâce aux performances des activités régulées en France et à la filiale britannique, notent les analystes de Barclays.L'action s'appréciait de 2,82 % à la clôture de la Bourse vendredi.
Il a ainsi annoncé des performances opérationnelles globalement stables au premier semestre 2019, marqué notamment par des conditions de prix de marché favorables en France, et a confirmé l'ensemble de ses objectifs pour la période 2019-2020.Dans le détail, il a dégagé à fin juin un résultat net part du groupe de 2,5 milliards d'euros (+44,7 %), un excédent brut d'exploitation de 8,3 milliards (+0,1 % en organique) et un chiffre d'affaires de 36,5 milliards (+4,3 %). Elle affiche encore un recul d'environ 20 % depuis le début de l'année et une performance inférieure de 30 % à celle de l'indice Stoxx Europe 600 Utilities, soulignent les mêmes experts.Le groupe a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de l'année. La mise en service du réacteur EPR à Flamanville en Normandie, qui était prévue avant la fin de cette année, sera encore reportée d’au moins 3 ans. J'avais un doute sur l'équilibre entre excès de qualité et bonne marche industrielle et vous m'avez totalement bien renseigné sur le sujet. Un décret, publié ce vendredi 27 mars, fixe au 11 avril 2024 la nouvelle date limite de mise en service de l'EPR de Flamanville (Manche).Ce texte porte à 17 ans le délai accordé à EDF pour construire le réacteur, contre treize ans jusqu'à maintenant.
Il vise toujours un excédent brut d'exploitation compris entre 16 et 16,7 milliards d'euros et une réduction de charges opérationnelles de 1,1 milliard d'euros en 2019 par rapport à 2015. Nucléaire : vers la construction de six nouveaux EPR ?
Il est possible d'agir, mais il faudra fournir des « efforts sans précédent. Mais pour l'instant, le nouveau calendrier reste flou. La mise en service de l'EPR de Flamanville dans la Manche continue de ressembler à un chemin de croix pour EDF avec ses retards mais aussi ses nombreux dérapages financiers. Le décret d’origine, pris en 2007, il y a 13 … En France, EDF a en outre maintenu son objectif de production nucléaire de 395 térawattheures (TWh) en 2019, en très légère hausse par rapport aux 393 TWh enregistrés en 2018.Chaque jour, la rédaction des Echos répond à votre besoin d’une information fiable et vous aide à prendre les meilleures décisions.Conservez une vision globale de la situation, en France et dans le monde. Sa mise en service sera repoussée d'au moins trois ans, selon « Le temps qu'il faudra pour préparer la réparation, effectuer la réparation, tester la réparation, faire valider par l'ASN ce que nous avons fait et ensuite remettre l'installation en situation d'être à nouveau testée et préparée pour une mise en service... Ceci nous amène à des délais de plus de trois ans », a déclaré le PDG d'EDF, EDF a par ailleurs annoncé un bénéfice net en hausse de 44,7 % à 2,5 milliards d'euros au premier semestre, porté par la valorisation de son portefeuille d'actifs dédiés pour couvrir les frais de démantèlement et de gestion des déchets.Hors ces éléments financiers, le résultat net courant s'inscrit en baisse de 19,4 % à 1,4 milliard d'euros, avec une chute de la production hydraulique en « La publication d'aujourd'hui, avec la confirmation par l'entreprise de la fourchette pour son objectif d'Ebitda annuel, en dépit d'une baisse de presque 30 % de la production hydraulique en France et de différents problèmes au Il vise toujours un excédent brut d'exploitation compris entre 16 et 16,7 milliards d'euros et une réduction de charges opérationnelles de 1,1 milliard d'euros en 2019 par rapport à 2015. D’un point de vue administratif et même légal, les pouvoirs publics n’avaient plus le choix.