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Votre consentement porte uniquement sur cette étude spécifique. Cela signifie qu’un traitement de données personnelles peut se fonder sur le consentement, mais pas uniquement. Tout changement important des conditions de mise en œuvre du traitement (finalité, données, durées de conservation, etc.) Les informations que vous communiquez doivent être complètes, claires et formulées en des termes compréhensibles de sorte que la personne concernée puisse décider en connaissance de cause. Art. Les méthodes suivantes sont dès lors contraires à cette exigence de base du consentement :Attention : lorsque la personne concernée est mineure, il faut en outre tenir compte des dispositions de droit commun relatives à la validité juridique du consentement donné par des mineurs (voir également ci-après : les mineurs et les services de la société de l'information).Si, en tant que responsable du traitement, vous traitez des données à caractère personnel sur la base du consentement, vous êtes tenu à plusieurs obligations en vertu de l'article 7 du RGPD :Le RGPD ne fixe pas la durée de validité du consentement que vous avez obtenu. Son rôle est de protéger les données personnelles des individus et ses règles concernant l’âge limite de consentement mettent en avant la difficulté que cela représente.Comme avec de nombreuses de ses règles, l’élément clé de sécurité est de vous demander pourquoi vous devez collecter des données personnelles.
Elle dépend du contexte : la finalité à laquelle le consentement se rapporte, la portée du consentement initial, la nature de votre activité, les attentes légitimes et raisonnables de la personne qui a donné le consentement.
Les règles du RGPD concernant le consentement des mineurs sont-elles efficaces ?
Si cette règle est relativement simple : en dessous de 16 ans, un mineur doit obtenir le consentement de ses parents, la problématique réside dans le fait que le RGPD laisse une marge de manœuvre aux États membres, en leur permettant d’abaisser cette limite d’âge, … La mission d’intérêt public : dans quels cas fonder un traitement sur cette base légale ? Pour que l'hebdomadaire puisse transmettre les données des participants, il doit demander le consentement aussi bien pour la transmission aux éditeurs que pour la transmission aux tour-opérateurs.Le consentement doit être univoque, c'est-à-dire qu'il requiert un acte positif clair de la personne concernée. Le RGPD ne fixe pas la durée de validité du consentement que vous avez obtenu. Le RGPD entrera en application le 25 mai 2018. Lorsque le mineur n’a pas atteint l’âge limite, le RGPD précise qu’il appartient au responsable du traitement de vérifier que le consentement est donné ou autorisé par le titulaire de la responsabilité parentale à l’égard de l’enfant, compte tenu des moyens technologiques disponibles.
Recueil du consentement RGPD des mineurs de moins de 16 ans : Dans cette situation, vous devez non seulement recueillir le consentement du mineur mais aussi celui du titulaire de l’autorité parentale.
Le RGPD ne fournit pas de réponse à cette question et les organisations se retrouvent donc dans la même situation qu’avant à ce sujet. En effet, pour donner le consentement, il est important d’être au-dessus d’un âge limite. Aujourd’hui, d’après les Ne pas confondre le droit d’effacement de la base ‘active’ avec une suppression des données qui peuvent devoir être conservées en archives intermédiaires pour des durées de prescription légale.https://dpms-media.fr/dpms/wp-content/uploads/sites/3/2018/05/new-dpms-site-logo-blanc.pnghttps://dpms-media.fr/dpms/wp-content/uploads/sites/3/2018/05/new-dpms-site-logo-blanc.pngQuelles sont les règles du RGPD concernant le consentement des mineurs ?© Copyright - CIL/DPO, se conformer à la Loi informatique et libertés DPMS au BUSINESS LUNCH Telecom Valley, le 25 janvier 2019