Nadir Dendoune est journaliste et écrivain. Occitanie Provence-Alpes-Côte d'Azur

Dans son documentaire « Des figues en avril » sorti le 5 avril, Nadir Dendoune filme longuement sa mère. Petit-dernier d’une fratrie de neuf, Nadir Dendoune, journaliste indépendant, écrivain, l’a filmée pendant plusieurs mois.Dans ce documentaire tendre mais jamais mièvre, il fait parler une de celle qu’on n’entend jamais : les femmes immigrées âgées. Quand son fils plaisante avec elle sur le nounours qui veille sur son oreiller, elle le renvoie dans ses cordes.En longs plans séquences, Nadir Dendoune la fait parler de son enfance, de son arrivée en France. Plus invisible que le travailleur immigré, sa femme. Quand elle écoute la musique de Slimane Azem, elle dit la douleur de l’exil et de l’impossible retour.Pas de grands épanchements mais de la retenue toujours et notamment quand elle évoque l’absence de son mari atteint de la maladie d’Alzheimer. Hauts-de-France

Un film qui dresse le portrait de sa mère. Elle, elle dit sa fierté vis-à-vis de son mari qui par son dur travail faisait vivre la famille, mais elle rajoute « il était fier de moi aussi ». Il nous la montre devant ses jeux télévisés priant pour des candidats qu’elle ne connait pas... Elle se raconte avec pudeur. Dans son documentaire « Des figues en avril » sorti le 5 avril, Nadir Dendoune filme longuement sa mère. Nadir Dendoune n’est pas un casseur. Grand Est Il y filme sa maman, Messaouada, 82 ans, dans son appartement de l'Île-Saint-Denis.Depuis quelques semaines les avant-premières affichent complets. Diffusé pour la première fois en clair dimanche 10 novembre à partir de 21h05 sur France 2, le film L'Ascension s'inspire d'une histoire qui s'est réellement produite. Centre-Val de Loire Il n’est pas désœuvré. Il vient présenter son film "Des figues en avril" qui sort en salles ce mercredi 4 avril. Sur le même sujet Le journaliste, écrivain et réalisateur Nadir Dendoune est l'invité de France Bleu Paris ce vendredi matin. Auvergne-Rhône-Alpes Des figues en avril. Corse Choix de la station 400 personnes à Stains un lundi soir, 130 au studio cinéma d'Aubervilliers le jeudi 22 mars dernier, avec une cinquantaine de personnes sur liste d'attente, ECOUTER - Le reportage de Rémi Brancato lors de l'avant-première du film "Des figues en avril", à AubervilliersECOUTER - Des spectatrices très émues, à la sortie de la sallePour le réalisateur, Nadir Dendoune, c'est un film "La relance éco : des parfums bretons à l'odeur de la BretagneMasque obligatoire en entreprise : des mesures déjà appliquées par Amazon dans la SommeElle saute par la fenêtre pour échapper à son ex-mari : 45 jours d'ITTLa relance éco : les buralistes de la Somme tentent d'attirer les clients en offrant plus de services Agressions de policiers à Béziers : le prévenu tente de se suicider avec un couteau au cours de sa garde à vueLes personnes handicapées encore largement privées de baignades dans les lacs de Haute-SavoieRennes : le stress des futurs étudiants face à la pénurie de logements Coronavirus : 21 cas positifs lors des opérations de dépistage à Biscarrosse et Mimizan

» Il la montre dans son quotidien, faisant le café du matin dans sa cafetière italienne, passant la serpillère dans son appartement devenu trop grand.

Nadir Dendoune, né le 7 octobre 1972 à Saint-Denis, est un journaliste et un écrivain.Il est l'auteur de Journal de guerre d'un pacifiste, de Lettre ouverte à un fils d'immigré et d’Un tocard sur le toit du monde.. Il est de triple nationalité, française, algérienne et australienne [1 Nadir Dendoune nous raconte surtout la pauvreté dans cette cité de Seine St-Denis, les difficultés de vivre, le racisme ordinaire envers ces immigrés, ces « gnoules ».


A travers elle, il donne la parole à cette génération de femmes laissées dans l’ombre. Nouvelle-Aquitaine La mère, femme courage, restera toujours du côté de ses enfants, les choyant le mieux possible. Un film intime sur un sujet universel, la douleur de la solitude et de l’exil. Île-de-France Il dresse le portrait d’une femme forte à des kilomètres de la caricature de la mère de famille nombreuse, illettrée, musulmane et donc soumise. Née en Kabylie, elle a rejoint son mari avec ses premiers enfants et a donné naissance aux suivants en France. Normandie Pays de la Loire Bourgogne Franche-Comté Bretagne
« On est des paysans, pas des bourgeois », s’exclame celle qui, enfant, a gardé les chèvres. Entre les mots, s’entendent les difficultés de la mère de famille nombreuse qui doit en permanence compter mais aussi la fierté de sa condition. A travers elle, il donne la parole à cette génération de femmes laissées dans l’ombre.Elle nous invite dans la cuisine de son HLM de l’Ile-Saint-Denis, en Région Parisienne. Après plus de 60 ans de mariage, elle a dû se résoudre à le placer en Ehpad, mais va le voir tous les jours.Plus d’un mois après sa sortie, porté par un bouche-à-oreille très positif, ce documentaire autoproduit est diffusé dans une vingtaine de salles en France (les dates et les salles sont sur la page Facebook Le Kilowatt à Vitry : un lieu culturel solidaire des luttes menacé par la criseMalgré les milliards investis, le PSG toujours pas dans la cour des grandsLa lettre cinglante du scènariste des « Vieux Fourneaux » contre Macron et son gouvernementParasite : la peur que les pauvres se lèvent et fassent tomber les riches« Dix-sept », un court-métrage sur l’homophobie au MaliDocumentaire : « Les Roms, des citoyens comme les autres ? Le journaliste, écrivain et réalisateur Nadir Dendoune est l'invité de France Bleu Paris ce vendredi matin. Depuis avril, il se rend aux quatre coins de la France pour présenter son documentaire "Des figues en avril". Si l’émotion affleure très souvent, elle ne manque pas de sens de l’humour.