Volume 136-2. Affront injuste et méchant envers la mémoire d'Antonio Talbot », Mélyssa Gagnon, « Accès-Bleuets a gagné son pari », Jean-François Desbiens, « Des pique-assiettes. En janvier 2011, la Sureté du Québec déclarait que les travaux d'aménagement de la route à quatre voies divisées dans la réserve faunique des Laurentides ont eu un effet bénéfique sur le bilan routierEn janvier 2012, le Ministère des Transports du Québec prend la décision de réduire la vitesse de 90 à 70 kilomètres à l'heurePour la première fois dans la construction d'une autoroute au Québec, la 175 possède des dizaines de passages pour petits et grands animaux. Se sont « des pique-assiettes »Le 30 septembre 2013, la ville de Saguenay rendait hommage aux acteurs principaux qui ont contribué à la réalisation de l'autoroute 175 Madame Marina Larouche, Monsieur André Harvey ainsi que les bénévoles du mouvement Accès-Bleuets lors d'une cérémonie au conseil de villeComptant un nombre important de collisions frontalesSelon le responsable du Bureau de surveillance du territoire de la Sureté du Québec pour le district du Saguenay-Lac-St-Jean, le bilan routier s'améliore depuis quelques années (2006-2009), au fur et à mesure que des tronçons de nouvelle route sont ouverts.

Un passage aménagé pour la grande faune consiste généralement à sur dimensionner un viaduc afin de conserver des berges au sec de chaque côté du cours d’eau sous la route et d’assurer un dégagement en hauteur afin que l’animal ne se sente pas cloîtré. », Doublement de la route 175, Harvey s'attend à une bonne nouvelle, Progrès-Dimanche, 10 février 2002, p. A4.Visite à Ottawa.

Jean Tremblay crée tout un tumulte, Le Quotidien, Jusqu'à 700 M$ pour doubler les voies vers Chicoutimi, Les Affaires, 25 mai 2002, Québec et Ottawa confirment, La route 175 sera élargie d'ici 2009, Le Journal de Québec, samedi 8 mai 2004, Québec accorde ses premiers contrats à des firmes de génie, Le Quotidien, 27 janvier 2004, Denis Villeneuve, « Selon l'ex-député André Harvey. De plus, un effet de bout se fait ressentir aux extrémités de zones clôturées de telles sortes que l’aménagement de passages fauniques supplémentaires avant la fin de ces zones clôturées serait souhaitable. Les chercheurs et biologistes de l’Université du Québec à Rimouski, du ministère des Transports, du ministère des Ressources naturelles et de l’université Concordia ont donc étudié si les collisions avec les véhicules sont moins fréquentes dans les zones aménagées, si les animaux utilisent ces passages et si certains types de passages sont plus performants que d’autres.L’orignal étant une espèce omniprésente sur le territoire et étant responsable de la majorité des accidents routiers, les premières recherches ont porté sur son comportement face à ce nouvel environnement. Routes et faune terrestre : de la science aux solutions. Le rapport final de cette étude peut être consulté sur le site du MTQ.Des études évaluant l’impact de la route sur les déplacements du caribou ont également permis de circonscrire les principaux lieux où cette espèce traverse sur la chaussée (les passages fauniques actuels n’étant pas utilisés) en plus de cerner son comportement face à la route. Les accidents y sont fréquentsAccès-Bleuets continua ses démarches, dont l'installation d'un poste de péage symbolique sur la route 175 en juillet 1991De son côté, le député conservateur du comté fédéral de Chicoutimi-le-Fjord Entre les mois d’avril à mai 2005, des audiences du En juillet 2008, les gouvernements du Canada et du Québec annonçaient conjointement l'ouverture de l'exposition thématique portant sur le projet d'axe routier 73/175Le 13 mai 2011, le ministre des Transports du Québec Monsieur Sam Hamad annonçait que la limite de vitesse de la route 175 passait de Le 13 août 2012, l'ex-député fédéral André Harvey déclare dans une entrevue accordée au journal Le 10 septembre 2012, le ministère des Transports du Québec ouvrait aux automobilistes l'échangeur à l'intersection des routes 175 et 169 dans la réserve faunique des Laurentides.

Blackville Route 8.

Trente hommes et sept automobiles partent de l’Hôtel Lemay à Hébertville-Station, le 5 septembre à minuit. La section Stoneham-Comme le Parc des Laurentides était un territoire à accès limité, trois barrièresLes statistiques à la barrière de Laterrière montraient une circulation quotidienne de 1 377 véhicules en 1962, 1 866 en 1967, 2 450 en 1972 et 3 184 en 1977. Route 2 (Brun-Way) Route 95. La route faisant le tour du Lac-St-Jean aura le numéro 55 et le numéro 56 sera attribué à la route Baie-St-Paul-St-Urbain-Grande-BaieAu cours de l’hiver de 1933-1934, 800 hommes ont travaillé pour le ministère de la voirie du Québec afin d’améliorer la route Québec-Chicoutimi-tour du Lac-St-Jean. Ces travaux consistaient à construire des ponts et ponceaux, le concassage de pierre pour le revêtement de la route ainsi que le nivelage de certaines parties de la chaussée dans la partie nord du lac Jacques-CartierLe ministère des Mines et des Pêches du Québec publiaitLes travaux de construction étaient supervisés par l’ingénieur en chef du ministère de la voirie Monsieur Ernest Gohier. Il en a résulté l’établissement de mesures d’atténuation reliées au contrôle de la faune composé de clôtures et de passages sous la route.Les principaux objectifs de ces aménagements sont :Au total, 39 passages fauniques sont en opération le long de la route 175 entre Stoneham-et-Tewkesbury et le Lac St-Jean, 33 pour la petite et moyenne faune (porc-épic, renard, vison, martre…) et 6 pour la grande faune (orignal, loup, ours...). L’expédition dure moins d’un mois et fait peu de bruit, malgré une publication relatant ce voyage. Le réaménagement de la route en quatre voies divisées a permis d’améliorer de façon importante la sécurité sur la route 175La route 175 est une autoroute pour une trentaine de kilomètres. Lavillette Route 8. Une baisse importante du nombre de collisions dans les zones qui sont clôturées est observée, mais pour l’ensemble de la route 175, le résultat n’est pas celui escompté. En d’autres mots, il se peut que la route isole deux populations de martres, car elle constituerait une barrière trop importante pour que cette espèce la traverse.