E.P. Les usines de Boulogne-Billancourt sont l’objet du premier bombardement massif sur la France, dans la nuit du 3 au 4 mars 1942. Hébergé par

Le 5 septembre 1944, les Alliés lançaient l'assaut sur la cité Océane occupée par les Allemands. Les bombardements alliés atteignent l’Hérault dès le début du mois de juillet. « Des bombardements alliés dès juillet 1944 » ... Elisabeth Perrier : Pour commencer le récit de la Libération, il faut remonter en amont d’août 1944. L'objectif principal semble être d'inspirer la terreur par le massacre aveugle de civils… » Émission de télévision sur France 3 du 12 mai 2014 : Histoire immédiate - René Botteo, "L'Isle-Adam en 1945, de l'enfer des bombardements à la Libération", in Patrick Facon, documentaire « Nantes sous les bombes alliées » dans Pour sa part, A. Knapp avance le chiffre de 57 000 morts civils (Se souvenir de Tours sous les bombes, Jonathan Largeaud, Geste Editions 2010, reprenant et complétant Tours Soir du 22 mai 1944. Ces bombardements font également de nombreuses victimes civiles.Les premières bombes tombent dès le 11 mai 1944 dans le quartier des Carmes. Certaines villes sont bombardées plusieurs fois comme Givors (Environ 220 Morts le 1er juin 1940, 25 mai, 6 août, 12 août, et 23 août). Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Après six mois d'intenses bombardements de 67 autres villes du Japon par les États-Unis, Bombardements stratégiques (sites industriels et militaires)Liste de bombardements alliés sur des villes historiques« Le principe directeur doit être de ne pas provoquer l'ouverture de la guerre aérienne de la part de l'Allemagne »restreindre les attaques contre les navires de guerre n'importe où« axé sur le moral de l'ennemi dans la population civile et en particulier des travailleurs de l'industrie »« Votre objectif principal sera la destruction progressive et la dislocation de l'armée allemande, de l'industrie et du système économique ainsi que de saper le moral du peuple allemand, à un point où leur capacité de résistance armée en sera mortellement affaiblie »« une distinction entre ce qui est admissible lors des bombardements en France et autres territoires occupés, et ce qui l'est lors des attaques sur l'Allemagne »Bombardements stratégiques (sites industriels et militaires)Liste de bombardements alliés sur des villes historiques« Les mots ne peuvent exprimer les sentiments de profonde horreur avec laquelle la nouvelle de ces raids a été reçue par l'ensemble du monde civilisé.

L'opération suivante a lieu dans la nuit du 19 au 20 mai dans le secteur du faubourg Bannier.

La ville est privée d'eau, de gaz, d'électricité et de téléphone. L'histoire inédite de ces luttes intestines au sein du haut commandement allié, qui ont bouleversé la vie de milliers de Français et durablement dévasté une région entière. Les villes et leur potentiel de main d'œuvre humaine, leurs sites industriels et les camps de prisonniers n'ont pas été les seuls sites stratégiques visés en Europe.
Le premier bombardement de la RAF touchant la région parisienne vise les usines Renault, en mars 1942. KENNKARTE NAZI D'UN ALSACIEN

Les bombardements de la Normandie, avant le débarquement et pendant la bataille de Normandie entre le printemps et la fin de l'été 1944, ont pour principal objectif la destruction des voies de communication allemandes dans les villes et villages normands pour gêner le renforcement du front, ainsi que l'appui direct aux assauts des forces terrestres alliées. La voie ferrée sera inutilisable de nombreux mois. Au cours des sept derniers mois de la campagne, un changement de tactique de bombardement a entraîné la destruction de 67 grandes villes japonaises, causant plus de 500 000 morts et quelque 5 millions de sans abri. A quelques mois du Débarquement, des bombardements d'une ampleur inédite frappent plus de 70 grandes villes, provoquant en quelques semaines la mort de dizaines de milliers de civils, faisant d'innombrables autres victimes, blessés et sans-abri. À quelques mois du Débarquement, des bombardements d'une ampleur inédite frappent plus de 70 grandes villes, provoquant en quelques semaines la mort de dizaines de milliers de civils, faisant d'innombrables autres victimes, blessés et sans-abri.Chez les Alliés, les partisans de bombardements massifs doivent convaincre des responsables parfois plus dubitatifs.