Ce dernier aurait offert, le 19 mai 1857, lors de sa venue à Hennebont avec l’impératrice Eugénie le tableau que l’on peut admirer dans l’écurie d’Honneur à Hennebont.
La SELLOR, société d’économie mixte du Pays de Lorient gère cet espace, qui devient la porte d’entrée grand public pour découvrir le Haras.
Les Haras Royaux sont supprimés durant la Révolution. La race Bretonne résiste grâce aux marchés de la viande, français et italiens.
Dédié initialement à la sélection et la reproduction de chevaux de différentes races et berceau des imposants chevaux de traits bretons, le Haras d’Hennebont est devenu le témoin de la relation privilégiée entre l’Homme et le cheval.
Retrouvez ici bientôt l'histoire des Haras Nationaux et en particulier l'histoire du Haras National d'Hennebont.
Elle compte alors 6 Haras, 30 dépôts d’étalons et 2 écoles vétérinaires (Lyon et Alfort créés en 1761 et 1764). Le 1er février, les Haras Nationaux et l’Ecole nationale d’équitation fusionnent et forment l'Institut Français du Cheval et de l'Equitation (IFCE), un établissement public. Bienvenue au Haras National d’Hennebont Inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques, il est aujourd’hui l’un des sites équestres les plus réputés de France. Tout ceci conduit au transfert du Haras de Langonnet sur Hennebont.La loi ratifiant l’échange de site entre les Haras Impériaux, propriétaire du site de Langonnet, et la Congrégation des Pères du Saint Esprit installée à l’abbaye de la Joye Notre Dame, site du futur Haras National d’Hennebont, est signée par Napoléon III. Il est le 4e Haras de France.Après la seconde guerre mondiale les progrès de la mécanisation annoncent le déclin des races de trait.
Rapidement, l’accessibilité des sites devient un point important ainsi que la nécessité de mieux répartir les étalons sur l’ensemble de la Bretagne. L’activité traditionnelle du Haras se poursuit et il s’ouvre, en parallèle, aux sports équestres.Le Syndicat Mixte assure la gestion du patrimoine bâti et arboré du site.La Ville d’Hennebont et Lorient Agglomération deviennent les propriétaires du Haras National d’Hennebont, qui se compose de 32 bâtiments, dont l’abbaye Notre-Dame de la Joie, répartis sur 23 hectares. Parallèlement, l’IFCE continue sa mission au service de la professionnalisation de la filière équine au niveau national.Sur le Haras d’Hennebont, des projets de grande ampleur peuvent démarrer, afin de donner à ce site unique en Bretagne Sud un plus grand rayonnement dans les domaines du sport, de la formation, de la culture et du spectacle vivant.Copyright © Le Haras National d'Hennebont 2020 - Depuis sa création en 1857, il est le témoin de la relation privilégiée entre l’Homme et le cheval. Cela a conduit à la création du premier Haras d’Etat en 1715 : le Haras du Pin, au cœur de la Normandie.
Institution historique, les Haras Nationaux ont pendant longtemps été tournés vers l’avenir de la filière équine en investissant dans les meilleurs étalons, dans la recherche zootechnique en lien avec l’INRA, ou encore dans la formation professionnelle.Les Haras Nationaux ont été créés en 1665 sous Colbert dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre.
Le Haras national d'Hennebont est l'un des cinq pôles équestres de la région française Bretagne.
Le Haras National, partie intégrante de l'histoire d'Hennebont depuis plus de 160 ans, est un lieu historique et prestigieux, reconnu comme l’un des berceaux des imposants chevaux de trait bretons. Son rôle a été déterminant dans l’histoire de l’homme puisqu’il était utilisé comme moyen de transport à la fois dans le civil et dans le militaire.Le Haras propose aussi l’organisation de séminaires ou de conférences à destination des professionnels et des associations.
Les techniques de reproduction évoluent, l’insémination artificielle apparaît à Hennebont en 1981. L’administration des Haras Royaux est créée en 1665 et se concentre sur l’amélioration des races régionales par ses propres reproducteurs. Les étalons sont rachetés par des éleveurs.Les Haras deviennent Impériaux grâce au décret du 4 juillet signé par Napoléon Ier qui reconstitue l’administration des Haras.
Les étalons sont rachetés par des éleveurs.Les Haras deviennent Impériaux grâce au décret du 4 juillet signé par Napoléon Ier qui reconstitue l’administration des Haras.
Le dépôt de Langonnet étant peu pratique d’accès, un nouveau site est recherché à partir de 1849.le décret du 10 novembre autorise le transfert du Haras National de Langonnet vers Hennebont sur un site de 5 hectares autour de l’abbaye Notre-Dame de la Joie, occupée par la congrégation des Pères du Saint-Esprit. Le Haras National d’Hennebont couvrait ainsi la Bretagne sud, l’Îlle-et-Vilaine, ainsi que les DOM TOM entre 1980 et 2000. Ses missions se concentrent sur la gestion et la préservation du patrimoine bâti, arboré et immatériel.La restructuration des Haras Nationaux a conduit à la fermeture de plusieurs sites et, parfois, à leur rachat par des structures ou collectivités visant le développement du cheval sur leur territoire. A l’issue de la Révolution française, Napoléon Bonaparte instaure les « Haras Impériaux ».
De 1857 à nos jours, le Haras National d’Hennebont a perpétué la tradition de l’élevage du cheval, notamment du trait breton, pour l’État.Aujourd’hui, il propose des activités de sports et de loisirs équestres et transmet son histoire et la passion du cheval à travers ses visites et animations, et le développement des spectacles équestres tout au long de l’année. 6 Haras Impériaux et 30 dépôts d’étalons sont créés par décret du 4 Juillet, signé par Napoléon Ier. L’administration des Haras Royaux est créée en 1665 et se concentre sur l’amélioration des races régionales par ses propres reproducteurs.