Ce n’est que pour rejoindre le groupe Hawkwind qu’il s’est mis à la basse. Participant à l’enregistrement de morceaux parmi les plus exigeants de la décennie, il a su faire vibrer aussi bien le jazzy « Out to Lunch! Collins a rejoint le groupe de James Brown, les J.B., en 1970 et a immédiatement été séduit par le concept de « The One » de Brown, en frappant le premier temps d’une mesure aussi fort que possible et en remplissant le reste de funk. Pour atteindre cet objectif, James Taylor, Jackson Browne, Carole King, David Crosby et Graham Nash ont régulièrement fait appel à Bien qu’ils proviennent de scènes et de générations différentes, Si vous assistez à un concert d’Esperanza Spalding, il y a de fortes chances que vous n’ayez qu’un vague aperçu de ce qu’elle peut faire, qu’il s’agisse de reprendre des standards de la chanson ou de jouer parmi ses compositions les plus audacieuses et futuristes inspirées tout autant du R&B que du rock progressif.

Mais son véritable moteur était le R&B et une grande partie de ses plus grandes œuvres figurent sur des albums comme le chef-d’œuvre de D’Angelo en 2000, Au centre de la tempête d’émotions qu’était Fleetwood Mac, le robuste et empathique John McVie a su mélanger la solidité du rock old-school et la douceur californienne, rendant le son du groupe reconnaissable entre mille pendant près de cinq décennies. Bassiste de session fétiche de Quincy Jones, il a participé à l’enregistrement de plus d’un hit dans les années 70 et 80.

Gros coup de cœur : le groupe convoitait tellement le bassiste que les musiciens déménagèrent de Los Angeles vers sa région natale, la Bay Area… à sa demande. White a tendance à être modeste dans les interviews, ce qui fait que son style de jeu est largement reconnu par les autres. A look at the creation and impact of the 1972 Rolling Stones album "Exile on Main St." Levin joue aussi avec beaucoup d’âme sur deux des plus grandes ballades de la fin de la carrière de Bowie, « Slip Away » et « Where Are We Now ? Malgré son talent évident, Butler a toujours minimisé ses capacités. S’inspirant de Jack Bruce, John Entwistle et Paul McCartney, Squire avait un son épais et mélodique qui alimentait tout ; des classiques du prog des 70’s comme « Close to the Edge » et « Awaken » aux tubes pop des 80’s comme « Owner of a Lonely Heart ».

C’est un style qu’il a développé pour se faire entendre en jouant sur la même scène que les flamboyants Keith Moon et Pete Townshend, mais il a apporté à son rôle une fluidité et une grâce remarquables qui ne ressemblaient à rien ni personne. Là où la majorité des bassistes se complaisent dans l’ombre, il cherchait la lumière. Robbie Shakespeare et son partenaire rythmique et de production, le batteur Sly Dunbar, ont implanté leur empreinte sur des décennies de reggae. D’abord prodige du violon, c’est au lycée qu’elle s’est pour la première retrouvée avec une basse entre les mains.

« Certains des titres les plus funky des années 60 et 70 – « I’ll Take You There » des Staple Singers, « Tell Mama » d’Etta James, « Oh No Not My Baby » d’Aretha Franklin ou encore « Take a Letter, Maria » de R.B. L’aversion du communiste Fidel Castro pour le rock’n’roll « outil de l’impérialisme américain » n’arrangera rien, et les Rolling Stones seront interdits de concert sur l’île aux cigares. La pomme ne tombant pas loin de l’arbre, son fils Patterson est le chanteur et compositeur des Drive-By Truckers.Israel Cachao López a exercé une influence folle sur la pop de 1930 à aujourd’hui. « Le plus grand tube de Motörhead, « Ace of Spades » débute avec Lemmy Kilmister frappant sa basse avec tant de vigueur qu’on pourrait le croire en route pour l’Enfer, sa Rickenbacker sur l’épaule. C’était le pouvoir de Haden en tant que bassiste : de donner même aux styles les plus contemporains un sentiment d’éternité.

Verdine avait étudié la basse sous la direction de Louis Satterfield, qu’il décrivait comme « le James Jamerson de Chicago », et avait scruté des jazzmen comme Ron Carter et Richard Davis. Mais c’est dans l’ombre que Davis se sent véritablement chez lui. « Avant même que le frontman David Byrne ne chante un mot du single « Psycho Killer » c’est Tina Weymouth qui joue l’une des lignes de basse les plus obsédantes de l’histoire du rock. A documentary that explores Bob Weirs life, through the Grateful Dead, Ratdog, and his childhood. With Mick Jagger, Charlie Watts, Bill Wyman, Ronnie Wood.

D’abord prodige du violon, c’est au lycée qu’elle s’est pour la première retrouvée avec une basse entre les mains. Ils ont formé Return to Forever, l’un des premiers groupes de jazz électrique des années 70, dans lequel Clarke pouvait à la fois jouer de la basse et avoir son mot à dire en tant que soliste vedette. Peu de temps après avoir rejoint Black Sabbath, Geezer Butler passe de la guitare rythmique à la basse et a imaginé son propre style d’improvisation.

Mais lorsqu’il a succédé à Lewie Steinberg en 1964, le groupe a pris son envol. C’était un élément essentiel des Talking Heads – même si elle n’a pas toujours été créditée – et elle a apporté un sang-froid incroyable à toutes leurs réalisations. Tous droits réservés. The Band a accompagné Bob Dylan lors de sa première tournée « branchée ». Vers 1939, il « De la même manière que les Grateful Dead ont transformé le rock, Phil Lesh nous a fait entendre la basse d’une nouvelle manière. Du swing ensoleillé du morceau « Help Me, Rhonda » des Beach Boys en 1965 à la version désormais classique de « La Bamba » de Richie Valens en 1958, en passant par l’interprétation romantique de « Somethin’ Stupid » de Frank et Nancy Sinatra en 1967, le jeu de Kaye traverse l’histoire de la pop moderne.