Après l'aménagement provisoire du site, un téléphérique est construit afin de faire descendre les matériaux de construction sur le chantier. L'usine est située à 316 mètres de profondeur au milieu d'un petit massif basaltique au pied de la plate-forme naturelle du PK 16 (796 m) et du col des Songes (78… La Société hydroélectrique réunionnaise lança les études et les travaux débutèrent en 1928. Barrage de Takamaka Le barage hydro-electrique de Takamaka II est situé sur la commune de Saint Benoit à l'est de l'île de la Réunion sur la rivière des Marsouins.
Barrage de Takamaka, aux environs de Forêt de Bebour La forêt de Bebour est celle par excellence des bois de senteurs. Elle est traversée par la rivière des Marsouins, c'est elle qui à creusé ses flancs pour produire l'encaissement actuel, la vallée englobe la totalité du cours moyen de cette rivière. Côté rivière des Marsouins, à partir du point de confluence avec le Bras Cabot, la rivière devient plus encaissée, on observe la succession de plusieurs cascades parfois hautes de 50 mètres dont les plus importantes sont les cascades Arc-en-Ciel et du Mini Trou de Fer. Le barrage de Takamaka 1, d’une longueur de 44 mètres et haut de 15 mètres, est un barrage hydraulique du Département de La Réunion situé sur le territoire de la commune de Saint-Benoît. Parallèlement on construit la route de Grand Fond qui permet de rejoindre le col des Songes et l'actuel Pk 16, on peut désormais rejoindre l'îlet à Bananes depuis Saint-Benoît. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (L'eau du barrage est acheminée jusqu'à l'usine souterraine par une galerie située sous un plateau constitué par le remplissage de formations volcaniques récentes issues du Piton des Neiges, ayant comblé une ancienne vallée située dans les formations plus anciennes de la phase 2 du Piton des Neiges. Un barrage voûte à seuil déversant de 44 mètres de longueur pour 15 mètres de haut est édifié en aval de la cascade Gingembre à 505 mètres d'altitude. Le projet resta alors dans l'oubli jusqu'en 1954, date où on lance une nouvelle étude en parallèle avec le projet de centrale hydroélectrique à Langevin, mais il faut attendre encore dix ans pour voir le début des travaux. En 1984, à la suite de l'augmentation de la demande électrique de l'île, est lancée la construction d'un nouveau barrage hydroélectrique. La pente moyenne est de 0,7 %.
Reste d'une échelle limnimétrique sur les rives de la rivière des Marsouins Les matériaux sont acheminés sur place via un téléphérique. Randopitons.re est le recueil, jour après jour, des randonnées effectuées par son créateur. La vallée abrite deux barrages hydroélectriques : le barrage de Takamaka I appelé aussi Barrage Gingembre et le barrage de Takamaka IIappelé aussi barrage des Hirondelles.
L'eau de ce dernier est acheminée vers la centrale par un tunnel creusé dans la montagne. L'eau suit un couloir de 2,7m de diamètre sur 4,5km de long. Certains circuits s'effectuent sur des sentiers fermés officiellement de manière temporaire ou définitive. Dans les années 90 on assiste à l'avènement du canyoning dans l'île, en l'espace de 10 ans la grande majorité des cours d'eau est visitée.
La vallée de Takamaka s'est creusée dans les anciennes laves du La vallée abrite deux barrages hydroélectriques : le Le projet d'utiliser l'eau de la rivière des Marsouins pour produire de l'énergie remonte aux années 1920, la vallée était alors un des endroits les plus préservés de la réunion, connu de quelques forestiers et habitants de la plaine des Palmistes, aucune route n'y menait et il fallait emprunter les difficiles et longs sentiers traversant la foret de Bébour ou celui du Bras Cabot arpentant le plateau de l'Îlet Patience jusqu'aux sources thermales du même nom. Une tranchée est creusée à même la pente pour permettre l'implantation d'un plan incliné de 347 mètres de longueur. Les conditions de travail étaient extrêmement difficile à l'époque et plusieurs ouvriers y laissèrent la vie. Un des pionniers dans cette discipline est Un point de vue sur la vallée de Takamaka situé à plus de 800 mètres d'altitude est accessible à partir de la ville de Il comporte essentiellement divers renseignements pouvant aider les randonneurs dans leurs recherches liées à la randonnée pédestre à la Réunion. La vallée de Takamaka marque le début de la partie pérenne de la rivière des Marsouins, en effet le cours supérieur de la rivière traverse le plateau de Bébour où pratiquement aucune résurgence pérenne n'est imaginable, il est donc à sec sur cette partie.
La vallée de Takamaka est entièrement située dans la partie centrale du territoire communal de La vallée est surtout marquée au centre par le piton Dorseuil qui culmine à 729 mètres d'altitude et sa longue crête rejoignant le plateau de Bébour et les Deux Mamelles au nord à une altitude de 1332 mètres. Le lac de retenue est capable de contenir 126 000 À partir de 1964 la vallée subit l'impact des travaux des aménagements Restes de câble dans la forêt dans la vallée de Takamaka Peu après le premier cassé on voit apparaître les premières émergences, le débit est par la suite multiplié grâce aux nombreuses sources laissant échapper l'eau des aquifères du plateau de Bébour.
Les difficultés rencontrés étaient alors énormes dans une zone aussi abrupte et sauvage.
En même temps la construction de la prise d'eau principale est en cours.
L'eau venant du tunnel arrive jusqu'à la chambre d'équilibre avant d'entamer son ultime descente dans un puits de chute vertical de 300 mètres de long et d'une largeur de 1,61 mètres. (GPS Barrage Takamaka 1: 55 ° 36′ 34.1′ E | latitude : 21 ° 05′ 43′ S). Ils étaient logés dans des baraquements en tôle, qui formaient de petits camps, à flanc de falaise lors de la construction du plan incliné ou sur un petit plateau situé non loin de la chute des Gaulettes pour la construction du tunnel de restitution par exemple. La difficile et vertigineuse descente était alors équipé de modestes échelles en bois (48 en tout) et tout le matériel était descendu à dos d'homme. Un sentier est d'abord créé pour accéder au petit massif (appelé à l'époque le Mamelon) situé en contrebas de la plateforme de Pk16 (terminus de la route actuelle). Il plongeait ensuite vers l'îlet à Bananes en empruntant un rein. L’autorisation de prélèvement d’eau pour la centrale de Takamaka II est régie par le « décret du