c'est le Parlement ou, pour être plus net, la Chambre des députés.

Pourquoi ? Après que chacune des deux chambres aura pris cette résolution, elles se réuniront en Assemblée nationale pour procéder à la révision. Qui, alors ? En ce cas, ils sont jugés par le Sénat. la Loire-Inférieure, Saône-et-Loire, Ille-et-Vilaine, Seine-et-Oise, Isère, Puy-de-Dôme, Somme, Bouches-du-Rhône, Aisne, Loire, Manche, Maine-et-Loire, Morbihan, Dordogne, Haute-Garonne, Charente-Inférieure, Calvados, Sarthe, Hérault, Basses-Pyrénées, Gard, Aveyron, Vendée, Orne, Oise, Vosges, Allier, chacun trois sénateurs ;

Le Triomphe de la République est un groupe monumental en bronze de Jules Dalou, situé dans le square de la place de la Nation, au centre de la place de la Nation à cheval sur les 11e et 12e arrondissements de Paris. « Les chambres auront le droit, par délibérations séparées prises dans chacune à la majorité absolue des voix, soit spontanément, soit sur la demande du Président de la République, de déclarer qu'il y a lieu de réviser les lois constitutionnelles. D'autres sujets sont abordés, qui ne concernent pas cet article.L'auteur, monarchiste, raconte la genèse du régime de la Troisième République.Excellent ouvrage, présentant à la fois des informations brutes (les différents gouvernements) et les faits historiques, d'une façon relativement neutreMonographie historique d'un républicain ardent, à prendre avec circonspection.La version du 13 août 2006 de cet article a été reconnue comme « Contexte historique et institutionnel du vote des loisUne République conservatrice qui tend au parlementarismeUne République orléaniste, ou « la troisième Charte »Un pouvoir exécutif détenu par deux figures inégalement importantesPratique des institutions : effacement total du président (« Constitution Grévy »)Le président du Conseil : grand absent des lois constitutionnellesLa réalité : le président du Conseil conduit la politique de la nationLe pouvoir législatif : un bicaméralisme relativement égalitaireSynthèse des institutions de la Troisième RépubliqueSources contemporaines citées au cours de l'articleContexte historique et institutionnel du vote des lois« se réduit au régime existant, à quelque chose qui ressemble à l'ordre établiUne République conservatrice qui tend au parlementarisme« le gouvernement de la République se compose de deux chambres et d'un président« Le gouvernement de la République se compose de deux chambres et d'un président« La forme républicaine du gouvernement ne peut faire l'objet d'une proposition de révision »Une République orléaniste, ou « la troisième Charte »« l'économie générale du système de 1875 est indéniablement de facture orléaniste, tant par ses rouages essentiels que par ses facteurs d'équilibreUn pouvoir exécutif détenu par deux figures inégalement importantes« d'arracher le gouvernement à la tutelle absolue des chambresPratique des institutions : effacement total du président (« Constitution Grévy »)« l'exercice par Grévy de son droit de nomination du président du Conseil a déterminé un amoindrissement de l'institution en consacrant la dissociation des fonctions de « [le président] préside aux solennités nationales »Le président du Conseil : grand absent des lois constitutionnelles« Les interpellations ne peuvent être adressées qu'aux ministres et non au président de la République« [le président de la République] nomme à tous les emplois civils et militaires »« dans l'intervalle [de la vacance de la présidence de la République], le Conseil des ministres est investi du pouvoir exécutif.

« Les ministres sont solidairement responsables devant les chambres de la politique générale du Gouvernement, et individuellement de leurs actes personnels.

Le Edgar Zevort est un historien pro-républicain, ce qui explique la force de cette expression.Les lois constitutionnelles attribuent l'initiative des lois, au sein du Il désire d'ailleurs que ce mode, « inscrit dans le marbre », soit le Ce paragraphe se dispense de justifier son contenu.
Mais là néanmoins n'est pas la vraie cause du mal. 30 janvier : « amendement Wallon » qui établit le septennat présidentiel et précise le caractère républicain du régime [5] ; par 353 voix contre 352, il est décidé que le président de la République serait élu pour sept ans par la Chambre des députés et le Sénat réunis en congrès [2]. À ses pieds, des monarchistes symbolisés par le comte de Chambord (gauche), les empereurs Napoléon III et Guillaume I er (droite).