On remarque une césure qui est marquée par le point, produisant 2 hémistiches qui insiste sur son épuisement. Jean Racine, "Phèdre", Acte I scène 1 : commentaire. Les mots sont dotés d'une puissance évocatoire et permettent de faire revivre la figure héroïque du père disparu, ils soulagent celui qui les prononce mais constituent aussi une menace. Ainsi, « Ses yeux sont éblouis » (v. 155) et ses « genoux dérobent sous [elle] » (v. 155). Nous allons donc nous demander comment la passion amoureuse est-elle représentée sur la scène théâtrale du 17 siècle à travers ce début de scène (v. 153-184). JC. Encore davantage qui nous avait été à voir dans le premier vers qui lui est composé de deux hémistiches, ici, le rythme et cette mélodie donnent à voir une certaine violence dans le ton. On apprend dans la scène 1 que c’est une femme mourante et qui cherche à mourir » (v. 44) et qu’elle est « atteinte d’un mal qu’elle s’obstine à taire » (v. 45) ce qui va être l’élément clé de cette pièce.
Dans ces deux scènes, le nom de l'être aimé(e) est l'objet du suspens dramatique. Pensée par des étudiants, la plateforme Pimido utilise des outils de détection anti-plagiat pointus, permettant l'analyse et l'optimisation de contenu rédigé par des étudiants ou des professionnels.Pimido.com utilise des cookies sur son site.
L’épuisement de son corps et de sa morale du à son amour est tellement conséquent qu’elle se sent seul, Phèdre finit par rompre l’échange et signale par la même occasion qu’elle ne se maîtrise plus. Annonce du plan : Dans cette perspective, l'échange entre Hyppolite et Théramène peut tt d'abord s‘apparenter à une scène d'exposition traditionnelle, qui met en place l'intrigue de la pièce. J.C.) en reprenant le personnage de Phèdre. _ I) 1) Théramène, le confident servant les intérêts de la scène d’exposition.
Son but est de raconter les malheurs d'un héros confronté à la fatalité avec un personnage qui se bat contre son destin, mais qui n'y parviendra pas. Phèdre, de Racine : Acte I, scène 1. Ouverture vers un autre moment de la pièce : cette première scène d'aveu est construite de façon symétrique à la scène 3 où Phèdre avouera son amour à Oenone. Dans le vers 159, les nœuds ont deux sens celui des chignions et celui du nœud tragique, le vers 160 est une manière pour Phèdre de reporter le désagrément sur les autres alors qu’elle peut se prendre qu’a elle-même, on voit ici un caractère arrogant de l’héroïne. Comme toutes les scènes d'exposition, elle est destinée à donner au spectateur les informations dont il a besoin pour comprendre la pièce. Le suicide, fait que cette pièce est une des exceptions littéraires qui ne suit pas la règle de bienséance.
Commande ton devoir, sur mesure !A plus d'un titre, le début de la pièce a de quoi surprendre : le roi Thésée est porté disparu, le spectateur, qui s'attend à voir apparaître Phèdre, apprend qu'elle est mourante.
Avant la tragédie de Racine, la confidente ne jouait pas un rôle actif, elle jouait un rôle comme dans le cœur de la tragédie antique, elle était une sorte de faire-valoir de sa maitresse.
à "Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs". [Plan détaillé de commentaire composé non corrigé ; il s'agit de mes notes pour un oral de littérature, en première année de fac de lettres.] Racine s’inspire, fidèle aux principes du théâtre classique, chez deux illustres auteurs de l'Antiquité gréco-latine: Euripide (Hyppolyte porte couronne, 428 av. - un interlocuteur gagné par la surprise L'utilisation, à quatre reprises, de formes interrogatives (Seigneur, m'est- il permis d'expliquer votre fuite ? [...] Dans la réplique de Théramène, les deux apostrophes Seigneur (vers 1 et et l'utilisation du vouvoiement mettent en évidence le respect qu'a T pour son jeune maître. du début de l’acte I, scène 1 à « Si je la haïssais, je ne la fuirais pas » (v. 56, p. 16) L’étude de cette scène d’exposition permet d’entrer dans la tragédie, en fournissant les éléments nécessaires à la compréhension de la situation initiale et en créant un effet de suspens. De plus, on constate une assonance en « i », ce « i » de la tragédie racinienne est un « i » strident de douleur et traduit le mal d’un personnage ravagé, transpercé par des douleurs. (vers ; pourriez-vous n'être plus ce superbe Hippolyte (vers ; Vénus à la fin voudrait-elle justifier Thésée ?