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Se mettre au clair emploie une approche plus subtile et se concentre sur la personnalité du personnage principal, Harry.
C'est un chef sympathique: brillant, spirituel et faisant autorité. D'autres films sur le sujet (Strawberry Statement, Fritz the Cat, The révolutionnaire, peut-être Hair) brossent tous un tableau sombre du mouvement étudiant. Dois-je appeler un taxi pour vous?" Suivre son activité En même temps, en dehors des étudiants se lèvent et pillent les bâtiments universitaires. Un des professeurs rejette le point de vue scientifique de Harry. → https://septiemeartetdemi.com/ Une société a besoin d'une certaine responsabilité pour survivre. Anyone who takes cinema seriously is advised to read their work.
Un paradoxe qu’on a de la chance de voir illustré en direct & avec la façon de filmer riche & révolutionnaire de Richard Rush, mais qui est aussi la cause de son plus grand défaut : l’acting. Mathieu Kassovitz
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"Getting Straight" means well, but is a bit of an embarrassment.
Il le fait de manière très authentique et crédible.
De Justement, c’est de cette conscience qu’est pétri Campus à l’époque où Harrison Ford débutait au grand écran, lui-même encore en âge de faire des études.
L'atmosphère de liberté, de débilité, de jouissance et de naïveté est factuelle. Le point culminant est son examen de maîtrise orale devant un comité.
Campus (titre original : Getting Straight) est un film américain réalisé par Richard Rush, sorti en 1970 Synopsis. Difficile d’imaginer une chose en particulier : le film était-il clair pour les spectateurs de 1970 ?
Votes: 270,957 | Gross: $65.00M Ex. Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateursLes meilleurs films de tous les temps selon la presseDans un jardin qu'on dirait éternel Bande-annonce VO En fait, il possède de nombreux maux qui ont été la cible de la contre-culture. With Robin Ward, Kathleen Sawyer, Austin Willis, Sean Sullivan. Dans le scénario du film, cette lutte se déroule dans une université - les étudiants étaient en effet avant-gardistes. C’est bien joli de faire un film en 1970 en sautant sur les droits d’un livre publié trois ans auparavant, mais pour faire bonne impression, encore fallait-il avoir conscience qu’on vivait une époque extraordinaire, berceau particulier de notre civilisation actuelle.