Une autre langue, ayant le statut de langue régionale, le scots, est également reconnue selon les termes de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Les attaques personnelles ne sont pas autorisées. et parlant une langue germanique... (ce qui nécessite un minimum de compréhension, et je serai enchanté de comprendre si quelqu'un maîtrise le sujet).Pour l'origine des Bretons, je sais que nous sommes au 21ème siècle et que la mode, sans même évoquer le politiquement correct, est au métissage.... et que selon la définition que chacun donne à ce mot, on peut trouver à la convenance un justificatif pour l'employer.... mais je ne suis pas d'accord avec son emploi vis à vis des Bretons.... et surtout pas avec le sens qu'on aime à lui donner de nos jours...Justement, le métissage tant européen (tout proportion gardée) qu'extra-européen reste faible en Bretagne... sans même évoquer le cratère récent de ce dernier... enfin, si c'est cela notre avenir... alors autant faire comme la République et arrêter d'évoquer les Bretons (sauf comme mot administratif)... D'ailleurs au rythme au l'on va, il ne sera plus nécessaire d'invoquer aucun peuple ni nation dans le monde, les états-nations décidant de l'identité des êtres humains au grand bonheur d'une certaine catégorie de la population. Le gaélique, car participant à l'identité actuelle de l'Écosse (le scot a donné son nom anglais à l'Écosse - Sur une population totale de 5.295 millions d'habitants, l'Écosse a donc 2% de locuteurs de gaélique (en Bretagne, on s'en rapproche, avec 120 000 locuteurs sur 4.616 000 habitants). Le gaélique écossais n’est pas une « langue officielle de l’Écosse », sinon il aurait les mêmes droits que l’anglais dans les tribunaux. (Rappelons que contrairement aux Bretons, les Gaels n’ont pas été colonisés par l’Empire romain).3. Je ne connais pas l'auteur de cette carte.Je remarque simplement qu'une impasse a été faite sur l' implantation norvégienne assez considérable dans les archipels des Orkneys et des Shetlands ainsi que dans la bordure nord-ouest (Inner Hebrydies et Outer Hebrydies). Par contre l'utilisation d'anonymiseurs pour modifier votre numéro ip entrainera la suspension de vos commentaires.«ne serait pas un nationalisme linguistique mais économique»«Langue de paysans, langue de la pauvreté, elle ne fascine la haute société d'Édimbourg que par son antiquit黫Les liens entre langue et nationalisme ne sont clairement pas les mêmes en Écosse et au Pays de Galles ou au Québec.
Bulletin d'Histoire politique, 2012 ,21 (1), pp.96-106. Les diverses influences ayant baigné l'Écosse se traduisent également dans une pluralité de langues. C'est oublier un peu vite que l'Ecosse est une nation composite de 3 origines : Gaël (Irlande), Pictes (Bretons/Britons), Scots (germanique)....Les 2 langues (hors anglais) qui subsistent rappellent la composante celtique et germanique.Alors que la Bretagne est issue d'une unique origine : Bretonne/Britonne.... (la composante Armoricaine étant possiblement des Britons continentaux, voir au plus éloigné des Gaulois fortement britonnisés : donc une situation extrêmement différente de celles des Ecossais)...Le gallo comme le français sont des langues extérieures aux origines.... elles ne sont uniquement comparable qu'à l'anglais chez les Ecossais.Comme l'anglais fait maintenant parti de l'Ecosse, le gallo et le français font également partis de la Bretagne....Si en Bretagne nous voulons avancer, ce n'est pas en cherchant chez les autres des comparatifs que nous y parviendront, mais en assumant notre histoire et en inventant l'avenir que nous souhaitons....!S'il y a un seul exemple à prendre chez les Ecossais c'est bien celui-là, et certainement pas dans le décompte des langues en brodant autour d'une trinité...!Alain je ne suis pas trop de votre avis .Les scots sont des celtes germanisés ,la langue n'est pas très éloignée de l'anglais ,un peu comme le gallo par rapport au français .La Bretagne issue d'une unique origine, certainement pas d'ailleurs aucun peuple en Europe a une origine unique ,mais le fruit de divers métissages à dominante indo européenne ,encore que pour les néolithiques ce n'est pas certain .Certes une dominante l'emporte dans chaque zone d'influence ,slave ,germanique ,latine celtique, pour les principales mais aucunes n'est pure .Sans compter l'influence de l'émigration extra européenne depuis plus d'un demi siècle et qui se renforce à l'heure actuelle .L'article et le commentaire ci-dessus amènent plusieurs questions :- de quelle étude provient le chiffre de 120 000 locuteurs ?- l'Ecosse est un modèle territorial très à part ; la nation - le territoire s vous voulez - n'a jamais cessé d'exister après 1707 et la fusion des Parlements : banque, Eglise, régiments, emblème sur le drapeau militaire Union Jack... Rien à voir avec la Bretagne.- on ne peut pas dire Scots pour l'origine germanique ! En revanche, le Gaelic Language Act prévoit qu’il droit être traité avec autant de respect que l’anglais, et pour ce faire, crée le Bureau du gaélique (Bòrd na Gàidhlig). Le gallo peine à trouver une standardisation, le breton qui est celtique, est donc plus Un spécialiste de la question, James Costa, dit que le nationalisme écossais On estime en effet aujourd'hui à 87 000 les personnes de plus de trois ans qui parlent le gaélique d'Écosse. On peut en outre faire le pari qu'ils sont appelés à se développer compte tenu de la place de plus en plus prépondérante des langues dans les discours minoritaires à travers le monde»"Le gaélique écossais a de nombreux liens avec le gaélique irlandais dont il ne différait que peu au XVIIIe siècle." Tout comme « scots » (la langue), le nom de ce pays dans beaucoup de langues européennes vient du latin : Scoti était le nom latin qu’on les Britoromains donnaient aux Gaels qui envahissaient la Calédonie. La ville d’Édimbourg est la capitale de cette région de 4,9 millions d’habitants. Bien qu'il ne semble pas certain qu'il appartienne à la famille du celtique insulaire, le picte était la langue parlée par les En raison de différences existant entre les dialectes du scots et de la non-existence d'une autorité de régulation, il n'existe pas d'Le scots n'a pas connu l'importante modification de la prononciation des voyelles (En dépit de variations régionales et sociales, l'anglais écossais possède un certain nombre de traits de prononciation caractéristiques. Si vous aviez consulté les données du référendum, vous le sauriez.4.